La genèse des lendemains est une réactualisation, mise à jour de mes précédentes recherches, Devant le langage sans souffle.

À la manière des scènes humaines et réalistes de Pieter Brueghel ou bien des scènes violentes et fantastiques de Jérôme Bosch, ce triptyque expose sur le même plan diverses images d’événements passés, grouillantes et envahissant l’espace.

Celles-ci soigneusement détourées et décontextualisées de leur média composent un nouveau dispositif à produire de la fiction, plaçant le spectateur comme un potentiel acteur devant le studio de tournage, lieu de la fabrique des effets spéciaux.